Qu’est-ce que la classe inversée ? Quelles en sont ses vertus et pourquoi cette pratique se développe-t-elle aussi largement et rapidement ?
la classe inversée représente un levier pour changer l’école et apporter des réponses aux problèmes qu’elle a aujourd’hui que ce soit les inégalités scolaires, l’entrée dans le numérique …
L’association Inversons la classe créée en 2014, se donne pour objectifs de « diffuser le travail des pionniers, pour que la classe inversée fasse partie de la boîte à outils de chaque enseignant, qu’il souhaite l’utiliser ou non. »
Crédit : Julien Ngo dit Gaston
► Rapport “Ambition numérique” – CNNUM
Après 6 mois de concertation, découvrez les 70 recommandations du Conseil National du NUMérique
Le rapport en 5 minutes
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Pour la première fois, un projet de loi en France est co-créé avec les internautes avant son envoi et son adoption en Conseil des ministres : Le projet de loi pour une République numérique.
Via le site dédié République-Numérique.fr, les citoyens internautes et mobinautes sont invités à participer à la consultation jusqu’au 18 octobre 2015 inclus.
Ce modèle d’apprentissage de David A. Kolb apparu sous le nom "Experiential Learning", sert souvent de référence. Il est expliqué et décrypté de manière claire et didactique dans cette vidéo pédagogique de quelques minutes.
L’animation vidéo est proposée par le GIP Formation Tout au Long de la Vie de Bourgogne.
► Enquête PISA (Programme international pour le suivi des acquis des élèves) – OCDE 2015
Ce rapport présente une analyse comparative internationale – la première dans ce domaine – des compétences numériques des élèves et des environnements d’apprentissage conçus en vue de les développer. Il révèle l’immense décalage entre la réalité de notre école et les promesses des nouvelles technologies. En 2012, 96 % des élèves de 15 ans des pays de l’OCDE indiquaient avoir un ordinateur à la maison, mais seulement 72 % déclaraient utiliser un ordinateur de bureau, un ordinateur portable ou une tablette à l’école, et dans certains pays, moins d’un élève sur deux se disait dans ce cas. En outre, même lorsque les nouvelles technologies sont utilisées en classe, leur incidence sur la performance des élèves est mitigée, dans le meilleur des cas. Les élèves utilisant modérément les ordinateurs à l’école ont tendance à avoir des résultats scolaires légèrement meilleurs que ceux ne les utilisant que rarement. Mais en revanche, les élèves utilisant très souvent les ordinateurs à l’école obtiennent des résultats bien inférieurs dans la plupart des domaines d’apprentissage, même après contrôle de leurs caractéristiques socio‑démographiques.(extrait)
Un récent numéro de "L’enseignement à la loupe", basé sur une autre enquête de l’OCDE, TALIS, permet une comparaison internationale qu’éclairent des études françaises.
Selon l’OCDE, " les résultats de l’enquête TALIS mettent néanmoins en évidence le rôle clé de la formation continue des enseignants et de leur vision de leur métier dans la pleine exploitation du potentiel de la technologie au service de l’enseignement et de l’apprentissage.
Café pédagogique – 14 septembre 2015
► Le connectivisme : et si nous étions patients ?…
Vous avez aimé le dessin ci-contre ? Il vous a fait sourire ? Rire, peut-être ?… Mais au fait : Comment l’interprétez-vous ? il en existe en effet plusieurs lectures : lire la suite
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