►  Ma seconde chance

Développé par l’Onisep, ce site internet à destination des décrocheurs et de leurs parents,
est disponible sur le web et sur mobile. Ma seconde chance doit guider les décrocheurs
vers des solutions adaptées à leurs besoins. Le site propose des ressources pour faire le
point avec des  propositions géolocalisées et un « tchat » pour avoir un interlocuteur.
A noter : un onglet « spécial parents de collégiens » « pour mieux se repérer dans les
informations proposées, pour mieux connaître les aides autour de chez soi, et savoir
comment y avoir recours.
 »

 

 
 

 

 ► Décrochage : La Fondation de France attend vos projets

Chaque année en France 40 000 jeunes abandonnent l’Ecole à la fin du premier cycle du secondaire. Ce sont autant de jeunes qui auront du mal à trouver leur chemin dans l’emploi et dans la société. La Fondation de France entend participer à la lutte contre ce décrochage précoce en soutenant des projets d’établissement dans les collèges mais aussi en aidant des structures de remobilisation des jeunes et des équipes de recherche. Vous avez jusqu’au 05 avril 2013 pour déposer vos dossiers. En savoir +

Café pédagogique – février 2013

 

 

► L’évaluation par le Céreq d’un dispositif de lutte contre la rupture scolaire interroge sur la pertinence d’une injonction générale à la rescolarisation

Le Céreq a évalué un dispositif visant à favoriser le retour vers une formation qualifiante de jeunes non diplômés en rupture scolaire et mis en œuvre entre 2009 et 2011 sur le bassin marseillais. Ce dispositif, nommé Apipaq (accompagnement partenarial d’itinéraires personnalisés vers la qualification), fait partie de diverses actions expérimentales financées à partir de 2009 par le Fonds d’expérimentation pour la jeunesse (FEJ). En France, environ 120 000 jeunes quittent chaque année le système éducatif français sans diplôme. Le Céreq rappelle que l’expérimentation Apipaq « reposait sur un partenariat renforcé entre rectorat et mission locale, et sur la création d’espaces d’accueil personnalisés (EAP) animés par un organisme de formation indépendant, à destination des jeunes les plus en difficulté ». Concernant l’évaluation, un protocole rigoureux d’estimation d’impact a été mis en place sur la base d’une « méthode randomisée ». Celle-ci consiste à définir une population susceptible de bénéficier d’un dispositif, puis à répartir aléatoirement les individus dans deux groupes distincts : le groupe « intervention » et le groupe « témoin ». La population entrant dans l’expérimentation était repérée par la mission locale et le rectorat. Affectés dans un groupe ou l’autre de façon aléatoire, les jeunes du groupe « témoin » se voyaient proposer une prise en charge classique tandis que ceux du groupe « intervention » pouvaient bénéficier d’un EAP.   Lire la suite
le quotidien de la formation 21 mars 2013, par Philippe Grandin